Le PDG de Facebook regrette à présent d’avoir rejeté en novembre l’idée que des manipulations sur le réseau social aient pu contribuer à fausser la campagne présidentielle.
S’il est notoirement accro à Twitter, Donald Trump n’a en revanche aucune sympathie pour Facebook, qu’il vient de mettre dans le même sac que les médias qu’il vomit régulièrement. Il l’a écrit mercredi :
Facebook était toujours anti-Trump. Les grandes chaînes ont toujours été anti-Trump, du coup, fausses nouvelles, le ‘New York Times’ (qui s’est excusé) et le ‘Washington Post’ étaient anti-Trump. Collusion ?
Beaucoup de gens se sont inquiétés du rôle des actualités bidon amplement relayées sur les réseaux sociaux pendant la campagne, y compris sait-on depuis, sur Facebook par des comptes russes.
Mark Zuckerberg a rapidement répondu au tweet accusateur :