Une bibliothèque de la fin du monde pour sauvegarder la connaissance en cas d’apocalypse

GLOBAL CROP DIVERSITY TRUST Une bibliothèque de la fin du monde, pour sauvegarder la connaissance en cas d'apocalypse, a ouvert ses portes au même endroit que la Réserve mondiale de semences.

Une société norvégienne propose aux Etats et entreprises de stocker physiquement leurs données importantes dans une mine en territoire démilitarisé.

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Une bibliothèque de la fin du monde, pour sauvegarder la connaissance en cas d’apocalypse, a ouvert ses portes au même endroit que la Réserve mondiale de semences.

Et si la fin du monde était pour demain? Bon, d’accord, cela fait un peu alarmiste, mais avec l’élection de Donald Trump, l’horloge de l’apocalypse n’a jamais été aussi proche de minuit depuis 1953 et le début de la course à l’armement nucléaire.

Il serait peut-être temps de penser à stocker nos connaissances. Juste au cas où. C’est en tout cas ce que propose la société norvégienne Piql, qui a ouvert lundi 27 mars une sorte de gigantesque bibliothèque sécurisée, cachée sous une montagne sur l’île du Spitzberg, à 1000 km du pôle Nord.

L’idée: permettre aux gouvernements, organisations, mais aussi aux entreprises et particuliers de copier leurs informations et données les plus importantes dans un lieu sûr, précise LiveScience.

Cet Arctic World Archive sera un héritage digital de données précieuses pour le monde, affirme la société dans un communiqué. Physiquement, le lieu de stockage est une partie d’une ancienne mine désaffectée qui héberge déjà une autre arche de Noé: la Réserve mondiale de semences du Svalbard.

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