Rita Ora : photo topless et robe de princesse pour enflammer l’Allemagne

Rita Ora à la 67ème cérémonie des Bambi Awards le 12 novembre 2015 à Berlin en Allemagne.

C’est une soirée placée sous le signe du glamour que s’est offert Rita Ora ce 12 novembre 2015. Invitée à la 67ème cérémonie des Bambi Awards organisée à Berlin en Allemagne, la chanteuse anglaise sort non seulement le grand jeu sur red carpet, mais aussi sur Instagram.

Rita Ora à la 67ème cérémonie des Bambi Awards le 12 novembre 2015 à Berlin en Allemagne.

 

Cérémonie de récompenses oblige, c’est dans une tenue des plus apprêtée que Rita prend la pose devant les nombreux photographes venus immortaliser son apparition. Optant généralement pour des créations aux factures très originales et surtout aux découpes ultra sexy de chez Fausto Puglisi ou Versace, la chanteuse se tourne vers une maison chez qui elle a ses habitudes lors de grands événements : Marchesa. Déjà éblouissante aux Oscars 2015 et au gala de l’amfAR 2015, elle fait une nouvelle fois des étincelles.

La chanteuse prend la pose dans une robe de bal Marchesa en tulle collection Printemps-Eté 2016.

Rita Ora, de sensationnelle princesse à reine du topless

Étourdissante de beauté, Rita s’impose sur tapis rouge dans une robe de bal issue de la collection Printemps-Été 2016. Une pièce d’une extravagance exquise composée d’une jupe en tulle plus volumineuse que jamais et d’un top délicat tout en transparence et en strass. Un décolleté plongeant vient alléger le tout et permet à Rita de faire tourner les têtes. Coup de coeur également pour son beauty look et sa queue de cheval en deux parties dont le côté futuriste tranche audacieusement avec sa robe. Non contente de faire forte impression sur tapis rouge, c’est avec un trophée en poche que l’Anglaise quitte la cérémonie.

Lire la suite sur puretrend.com

 

Articles simulaires

Tourner en ridicule le rire de Kamala Harris : une stratégie risquée, selon Baudelaire

Tim Walz permettra-t-il à Kamala Harris d’attirer l’électorat rural ?

J.D. Vance et le nouveau visage de la droite américaine